Vitrine triste dans un atmosphère de nuit,
Vitrine triste à l'asphalte des trottoirs,
Et des ciel embrumés.
Vitrine triste,
Des boutiques aux pantins désarticulé,
Que la lueur des réverbère rend encore plus fantomatique.
Vitrine triste,
Sur la vieille table d'opération,
Aux allures de Frankenstein,
Quelques bistournis,
Pour se refaire un visage à neuf,
Un visage sans vie aux allures de zombies.
Des vitrines tristes,
Hors des soirs d'Halloween,
Dans les grandes villes
Aux nombreuses ruelles sans vie.
Les vieilles ruelles des vieilles villes désertées,
Où errent les chats noctambules,
Et quelques arbres calvitieux,
Qui étirent leur branches fragiles,
A bout de souffle...
A deux pas du précipice...
Vitrine triste,
Celle des serpents de métal,
Qui transporte dans leur ventre,
Des milliers d'humains perdus.
Vitrine triste,
Des débris de verre par terre,
Et quelque cratères d'ivresses
Dans les cerveaux pré-comateux,
Des apôtres de la bouteille.
Vitrine triste,
Au parc orphelin,
Que le temps et la nuit déserte,
Un bruit de balançoire sans personne dessus.
Vitrine triste,
Des usines au rudes labeurs,
Vitrine triste,
Des vitraux des hôpitaux,
Vitrine triste,
Une voiture à écrasé un chat.
Vitrine triste,
Dans les boites d'ennuis quelques jeux de rôles,
Vitrine triste,
Des accidents de scooter dans la Nuit,
Vitrine triste.