L'albe manteau de la neige,
Comme un écrin de lumière,
Un cri de vie et de poésie,
Un ciel rassurant,
Qui parsème la terre de flocon silencieux.
ça met du panache au manteau des oiseaux,
Qui s'emmitoufle dans leur nouveau vêtement,
Les ennuis un instant semblent s'en allée,
Par le parc au chemin, tortueux et chantant.
Un nid de douceur et de ouate,
Que nos souliers foulent doucement,
ça frissonne de partout
ça met des myriade de sourire,
Dans nos visages rêveurs.
ça ne tiendrait à presque rien,
On deviendrait oiseau,
Eployant nos ailes légères,
Comme un frisson d'aile,
Un souffle d'hirondelle,
Au mouvement de l'éole.
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Le pain chauffe dans le fourneau,
De la boulangerie du village,
Des milliers d'odeurs qui s'échappent,
De ce royaume des saveurs.
Et un café dans une auberge,
ça fait du bien de se réchauffer,
Après une ballade hivernale,
Le feu crépite à pleine haleine,
Ses phosophorescence rousse réchauffe nos yeux,
Les fauteuils sont confortables,
Autour d'un bon feu de cheminée.
ô les flocons liliale,
Leur sourire muet,
Un éclat de rire,
Un écrin d'oubli,
D'oubli des ennuis.
Un instant de rire.
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