Le corso fleuri du ciel,
Transporte ses bouquets embrumé,
De nuages vaporeux,
Et dans l'immensité,
Résonne la fanfare
Du cycle des saisons.
Le silence lentement,
S'invite au carnaval,
En habit de prada,
Avec sur ses yeux mystérieux
Des masques fantasmagorique.
Un oiseau passe,
Il redessine mes jours,
Comme un arôme tendre et moelleux,
Et un instant s'ensoleille,
L'iris de mon regard.
Un parfum de printemps,
Accroché aux lauriers,
Et un loriot qui s'envole,
D'un mouvement magnifique.